Avocat Steve Stanton, lignes directrices au sujet de l’unification: Les questions importantes qui devraient idéalement être considéré à l’égard de tout dialogue futur devrait-il se produire à nouveau.
| 16 novembre 2015
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On m’a demandé de soumettre un article sur des considérations à l’égard de l’unification devrait-il se produire dans l’avenir entre la ULCM et toute organisation proposée qui chercherait à entrer en dialogue et la négociation a finalement conclu à l’unification. Ces questions qui sont énoncées dans mon opinion sont ce que je considère comme principes de base comme un avocat et compte tenu de mon mandat de l’avocat général, tel qu’il est et existe; ce sont des questions qui devraient idéalement être considéré à l’égard de tout dialogue futur devrait-il se produire à nouveau. Je suis reconnaissant pour la possibilité de faire cette contribution et dire, non sans modestie, pour le bénéfice des membres concernés dans toute la diaspora.
Je suis également conscient qu’en donnant mon opinion sur la légalité et les ramifications de tout futur dialogue Unity cet avis doit être diffusé aux membres.
Comme vous le savez, il y avait des négociations initiées par l’administration ULCM réelle entrepris à l’égard d’une fusion avec un autre organisme qui a reçu à la fois inquiétude et débat assez vigoureux.
Le concept d’une réunion Unity est pour le moins une perspective amorphe sinon nébuleuse. Unité avec qui, et pour quoi?
Qu’est-ce que devaient être les nombres entiers de fusion, et plus important encore le mécanisme par lequel cette fusion aurait lieu?
En termes de gouvernance d’entreprise, la ULCM est, comme toute autre organisation de l’entreprise, ou pour que le corps en matière politique, un groupe de personnes regroupées mais sous une charte d’entreprise, qui elle-même exige que les membres soient conformes à leur engagement de respecter cette charte, et dans notre cas, la Constitution promulguée et qu’elle applique à l’échelle mondiale.
Comme une question de gouvernance d’entreprise, il est de mon avis que la suivante (et sans s’y limiter) devrait nettement apparaître à l’égard de la fusion comme suit:
1. Un plan défini pour le corps fusion proposée devrait être réalisée entre les deux organismes qui cherchent à fusionner et ayant une personne indépendante d’évaluer et de vérification de la conformité en termes de considérations entre les deux organismes.
2. La constitution du corps fusionnant proposé devrait fournir, pour vous assurer qu’il est en conformité avec notre Constitution telle qu’elle est, et a été prête à lui permettre d’être considéré comme un amalgamee avec notre propre corps qui est, bien sûr, plus important , une ONG (Organisation Non Gouvernamentale) ayant accréditation auprès de l’ECOSOC (appartenant à l’ONU ).
3. Les objectifs et les aspirations des membres ULCM devraient être pris en compte dans un document qui devrait être produite aussi rapidement que possible sur la façon ou dans quelles circonstances les organismes seraient fusionnent et les actifs devant faire l’objet de la fusion serait investi dans le projet corps issue de la fusion.
4. Un document serait ont été publiés qui, ayant été réduite à l’écriture serait indicative de la façon dont ce processus de fusion se produirait en termes d’acquisition de l’actif et si il y avait des engagements au sein de l’amalgamee proposé que nous allions soit vouloir contester ou pour cette question se prémunir contre la recherche d’une indemnité, de peur que nous supposons passifs que nous étions pas prêts à les indemniser dans toutes les circonstances.
5. Un document ou document de travail devant être produits par la Présidente Mondiale aux membres du dialogue ou d’un comité consultatif, pour donner une indication de ce que les discussions étaient, comment ils avaient été négocié, quand et où, et quelles étaient les conditions essentielles du telle discussion en termes de consensus diffusée aux GRCS, alors la proposition d’discuté et voté à être approuvé lors d’une réunion de monde.
Je déclare pour le bénéfice de tous les membres, si les 5 points ci-dessus ne sont pas considérés, aucune opinion à ce sujet est faux et une erreur de droit à la fois dans une affaire de gouvernance d’entreprise et, plus particulièrement, en fonction de la Charte des Nations Unies.
Je voudrais vous rappeler que le Département de l’information des Nations Unies exige une ONG d’avoir les critères suivants:
(i) Il faut soutenir et respecter les principes de la Charte des Nations Unies.
(ii) Il doit être reconnu d’envergure nationale ou internationale – ce que cela a amalgamee fait en termes de tels debout, national ou international?
(iii) Il devrait fonctionner uniquement sur une base non-lucratif et qui ont le statut d’exonération fiscale – où est la preuve que cette amalgame a cette reconnaissance spécifique?
(iii) Il devrait fonctionner uniquement sur une base non-lucratif et qui ont le statut d’exonération fiscale – où est la preuve que cette amalgame a cette reconnaissance spécifique?
(iv) Le amalgamee proposé doit avoir l’engagement et les moyens de mener des programmes d’information efficaces avec ses électeurs et à un large public sur les activités de l’ONU en publiant des bulletins, des bulletins et des brochures, l’organisation de conférences, séminaires et tables rondes, ou à l’enrôlement l’attention de la médias – où est le président mondial recueillies et / ou assemblés tel matériau pour nous satisfaire que cet organe proposé répond à ce critère spécifique? En bref, cela n’a pas eu lieu.
(v) Le amalgamee proposé a l’obligation de nous soumettre un état financier vérifié indicative en devise américaine et menée par un comptable qualifié et indépendant, qui, nécessairement, serait nécessaire avant que quiconque pourrait sérieusement se demander si une fusion pourrait avoir lieu – encore une fois un échec lamentable de la part de la présidente mondiale d’entreprendre ce qui serait attendu d’une personne qui est à la fois un avocat et un fonctionnaire en tant que président de ce corps qui se familiariser avec les pré-requis des Nations Unies pour l’adhésion au sein d’une OING, et plus important aurait préoccupation que lui-même sa propre organisation ne serait pas fusionner avec un corps qui ne répond pas à ces critères.
(vi) La amalgamee proposé a l’obligation de présenter, avec la divulgation complète de ses statuts ou règlements, qui devrait idéalement fournir un processus transparent de prise de décisions, l’élection des dirigeants et des membres des conseils d’administration de cet organisme, et, contrairement à notre propre Président mondial, ne serait pas de prendre des décisions tout seul et unilatéralement à exiger l’unification sans en aucune façon la diffusion de ces questions à la fois son exécutif et, plus important encore, à l’appartenance à un monde en général. La prudence quand une fusion est proposée et nous avons aucune idée de l’organisme avec lequel nous sommes à la fusion, à sa gouvernance d’entreprise dans les deux sa capacité ou le statut est ni une proposition que nous devrions sérieusement envisager, ni ne doit nous engager encore sur elle si des considérations de seuil ne peuvent pas être satisfaits au départ.
(vii) Enfin, le amalgamee proposé a l’obligation de soumettre un dossier constitué de la continuité du travail qui lui permettrait à attendre avec confiance pour aider et travailler avec nous à l’avenir dans la détermination des travaux pour le compte de l’Organisation des Nations Unies que nous ont tenté et continuent à entreprendre dans l’esprit d’apprécier notre statut d’ONG?
À mon avis juridique considérée, tout futur projet de fusion ne doit en aucun cas trahir et / ou d’abroger notre droit à exister comme une entité et une ONG enregistré comme tel.
Nous ne pouvions pas envisager de fusionner avec un corps que nous avons aucune indication quant à son statut et si elle peut commodément, mais, plus important encore, conforme conceptuellement à ce que nous entreprenons est à capituler sans aucune bonne raison de notre indépendance et de la souveraineté comme atteints et maintenus au fil des ans, et avec lequel je ne peux pas approuver une telle proposition.
Je demande également que cette opinion soit diffusé à tous les appartenances ULCM par le magazine en ligne « du patrimoine libanais » à travers le monde, et en ma qualité de conseillers juridiques du monde ULCM, je en aviser.
Respectueusement soumis,
Stephen J. Stanton SC