Une délégation de l'Université culturelle libanaise du monde en Amérique du Nord rencontre avec le député Cheikh sami Gemayel

Lundi 01 novembre 2010 une dél
égation de l'Université culturelle libanaise du monde en Amérique du Nord a tenu une réunion avec le député Cheikh sami Gemayel lors de sa visite à Boston. La délégation était présidée par le Président continental, le professeur Elias Kassab, et le membre du vice-président continental pour les États-Unis, l'ingénieur David Abi Shaker, le professeur Ibrahim Tanous, chef de la branche de Boston de l'Université, le propriétaire des nouvelles de profil de journal, ingénieur François Abu Noman, chef de la branche de New York, et M. Ibrahim Ancien agent des relations internationales à l'Université, conseiller des médias auprès du Secrétaire général de l'Université, m. Alfred Saad, et un certain nombre de fonctionnaires universitaires aux États-Unis et au Canada.

La délégation a remercié le beau député pour son soutien à l'Université et pour ses positions audacieuses dans la défense des droits des expatriés, en particulier sa position récente concernant leur droit de vote. La délégation a salué les belles positions à l'appui de l'indépendance de l'Université et le défenseur de la levée de la main.

La délégation a ensuite exprimé le souci des expatriés sur ce qui se passait au Liban, et ils ont écouté le beau député pour sa perception de la situation et son point de vue sur les développeme
nts et les moyens de résoudre leurs dilemmes. La délégation a salué le déménagement par le beau député vers l'administration américaine, en particulier le Sénat, pour déplacer l'aide militaire américaine à l'armée libanaise.

La délégation a expliqué au beau député le rôle de l'Université dans les Nations Unies comme appartenant aux organisations non gouvernementales de l'Organisation internationale. La délégation a ensuite ass
uré le beau député que l'Université était et continuera à soutenir la patrie du Liban, à l'appui de sa liberté, de sa souveraineté et de son indépendance, et que l'Université ne ménagera aucun effort pour investir ses relations avec les gouvernements des États-Unis et du Canada, pour les employer pour cela et pour servir toutes les questions de la nation.

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