Wednesday, 25 November 2009 | |
C’est sur les belles plages d’Ixtapa, au Mexique, que RJLiban a été à la rencontre des jeunes Mexicains d’origine Libanaise, rassemblés dans une association appelée Jomali. Il ya une vingtaine d’années, « Papi » réunit pour la première fois, sur une des superbes plages du Mexique, 200 jeunes d’origine libanaise, leur racontant la matinée de son départ du Liban, en 1964, pour émigrer, et la douleur de sa mère lors de la séparation. Emportés par le récit de ce voyage, ils pensèrent à leurs arrière-grands-parents ayant fait le même chemin et fondirent en larmes. La Jomali vit ainsi le jour, au milieu d’une émotion scellant jusqu’à aujourd’hui cette formidable association indépendante de jeunes Mexicains d’ascendance libanaise (« Jovenes Mexicanos de ascendencia libanesa »).
Notre voyage d’une heure par avion, à partir de Mexico vers Zihuatanejo, à 200 Km à l’ouest d’Acapulco, nous a permis de rencontrer les premiers participants à la convention annuelle de la Jomali, qui, tous les quatre ans en moyenne, comme cette année, se déroule sur la plage. Parmi les 800 membres actifs de l’association, 250 étaient présents occupant les 16 étages de l’hôtel avec ses ascenseurs permettant à chaque aller ou retour d’échanger brièvement des idées avec de nouveaux jeunes provenant en particulier du nord du Liban (Zghorta, Batroun, Koura, Akkar…). Un échantillon de la grande communauté libanaise du Mexique, qui compte plus d’un demi-million de personnes, la plupart issues de familles maronites, avec un amour intact pour le Liban, malgré les distances géographiques et culturelles. Ils se contentaient de quelques de quelques mots en arabe pour nous raconter leur dernier séjour dans la mère patrie, plus de la moitié s’étant déjà rendus auprès de leur famille restées au pays. Ce qui n’est pas le cas pour tous, en particulier pour ceux ayant perdu tout contact avec le Liban, mais qui pourtant clament haut et fort leur identité libanaise. Coordination avec RJLiban Ambiance tropicale, tequila, à défaut de l’arak, derbaké, guitare et dance orientale au bord de la piscine aménagée pour pouvoir y jouer de la « taoulé » en fumant la narguilé : Fairuz, Yousfieh, Fahimé, Nazira, Amado (traduction de Habib ! ), Charbelito et aussi Alfredo, Eduardo, Jorge, Bernardo, Salomé, Farid, Haifa et bien d’autres, tous étaient présents, portant le cèdre au cou. Au milieu des tintements des verres portés « A la Salud del libano » (à la santé du Liban), notre discours fut prononcé en espagnol, leur première langue, à laquelle ils sont aussi attachés qu’à leur pays natal, le Mexique. « Le Liban s’intéresse à vous, vous jeunes mexicains, citoyens d’Amérique Latine d’ascendance libanaise. Nous savons que vous formez une élite d’affaires, et souvent vos parents ont été sollicités à partir du Liban pour financer des projets pour le Liban. Mais vous êtes aussi une élite intellectuelle, culturelle, et c’est la seule chose que personne ne peut vous prendre. C’est ce qui fait que le Liban existe encore, ait existé depuis 8000 ans et restera pour l’éternité. Et, c’est ce que nous voulons de vous. Nous volons former un parti culturel, invincible. Qui lutte pour la paix et la coexistence, non seulement dans notre Liban chéri, mais dans tous les continents. Notre Liban, ce pays message, cette terre sainte, où ont vécu de nombreux prophètes… nous sommes donc, aujourd’hui avec vous, pour construire des ponts entre le Liban et le Mexique, mais aussi avec tous les autres pays du monde où la communauté libanaise est implantée… Cette action sera encore plus forte si elle inclut les jeunes mexicains d’origine libanaise qui n’ont pas pu se rendre à Ixtapa, et ils sont nombreux à vivre dans les régions éloignées, que vous devez engagées dans ce grand mouvement de renaissance du Liban, avec la participation de la Jomali et de RJLiban. » Des étreintes qui en disent long Les soirées dansantes se sont succédé dans les beaux restaurants et boites de nuit d’Ixtapa, aves des étreintes de plus en plus fortes au fur et à mesure de l’approche du départ. Ce fut notamment le cas lors de la soirée d’inauguration sur le thème des pirates. Apres avoir entonné les hymnes libanais et mexicains, une belle danseuse orientale nous a enchantés par son beau physique de libanaise au teint clair, ne connaissant que quelques mots du dialecte libanais. Et durant la dernière soirée de gala tout en blanc, il ne manquait que des projecteurs rouges et verts pour ne ramener au pays. Les discours des responsables ont été suivis de concours récompensant le plus beau, la plus belle, le plus séducteur et le nez libanais le plus typé, avant l’ouverture du bal au rythme des plus belles musiques de Caraïbes, dansées à deux ou en groupe. Aussi fiers de leur rassemblement que de leurs origines, les jeunes Libano-Mexicains nous donnèrent rendez vous pour 2010 à Puebla, ville proche de Mexique, et nous demandèrent, avec une lueur dans les yeux pouvant illuminer tout Beyrouth : « les jeunes libanais nous ressemblent t’ils ? « Comment vivent-ils ? » Comment avez-vous trouvé les jeunes Libanais du Mexique « ? Les libanais du Mexique veulent tous retourner au Liban, et notre équipe leur prépare des circuits touristiques spéciaux adaptés à leurs demandes. Mais pour le moment, ils n’ont pas la volonté de s’installer dans le pays, en raison d’une certaine appréhension due à la situation régionale et, parfois, à la difficulté d’obtenir le passeport libanais. Ils constituent cependant un exemple pour les jeunes du Liban. A quand le rassemblement de jeunes au Liban, qui soit indépendant des divisions provoqués par les formations politique impliquées dans les dernières guerres ? |
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C’est sur les belles plages d’Ixtapa, au Mexique, que RJLiban a été à la rencontre des jeunes Mexicains d’origine Libanaise, rassemblés dans une association appelée Jomali. Il ya une vingtaine d’années, « Papi » réunit pour la première fois, sur une des superbes plages du Mexique, 200 jeunes d’origine libanaise, leur racontant la matinée de son départ du Liban, en 1964, pour émigrer, et la douleur de sa mère lors de la séparation. Emportés par le récit de ce voyage, ils pensèrent à leurs arrière-grands-parents ayant fait le même chemin et fondirent en larmes. La Jomali vit ainsi le jour, au milieu d’une émotion scellant jusqu’à aujourd’hui cette formidable association indépendante de jeunes Mexicains d’ascendance libanaise (« Jovenes Mexicanos de ascendencia libanesa »).
Notre voyage d’une heure par avion, à partir de Mexico vers Zihuatanejo, à 200 Km à l’ouest d’Acapulco, nous a permis de rencontrer les premiers participants à la convention annuelle de la Jomali, qui, tous les quatre ans en moyenne, comme cette année, se déroule sur la plage. Parmi les 800 membres actifs de l’association, 250 étaient présents occupant les 16 étages de l’hôtel avec ses ascenseurs permettant à chaque aller ou retour d’échanger brièvement des idées avec de nouveaux jeunes provenant en particulier du nord du Liban (Zghorta, Batroun, Koura, Akkar…). Un échantillon de la grande communauté libanaise du Mexique, qui compte plus d’un demi-million de personnes, la plupart issues de familles maronites, avec un amour intact pour le Liban, malgré les distances géographiques et culturelles. Ils se contentaient de quelques de quelques mots en arabe pour nous raconter leur dernier séjour dans la mère patrie, plus de la moitié s’étant déjà rendus auprès de leur famille restées au pays. Ce qui n’est pas le cas pour tous, en particulier pour ceux ayant perdu tout contact avec le Liban, mais qui pourtant clament haut et fort leur identité libanaise. Coordination avec RJLiban Ambiance tropicale, tequila, à défaut de l’arak, derbaké, guitare et dance orientale au bord de la piscine aménagée pour pouvoir y jouer de la « taoulé » en fumant la narguilé : Fairuz, Yousfieh, Fahimé, Nazira, Amado (traduction de Habib ! ), Charbelito et aussi Alfredo, Eduardo, Jorge, Bernardo, Salomé, Farid, Haifa et bien d’autres, tous étaient présents, portant le cèdre au cou. Au milieu des tintements des verres portés « A la Salud del libano » (à la santé du Liban), notre discours fut prononcé en espagnol, leur première langue, à laquelle ils sont aussi attachés qu’à leur pays natal, le Mexique. « Le Liban s’intéresse à vous, vous jeunes mexicains, citoyens d’Amérique Latine d’ascendance libanaise. Nous savons que vous formez une élite d’affaires, et souvent vos parents ont été sollicités à partir du Liban pour financer des projets pour le Liban. Mais vous êtes aussi une élite intellectuelle, culturelle, et c’est la seule chose que personne ne peut vous prendre. C’est ce qui fait que le Liban existe encore, ait existé depuis 8000 ans et restera pour l’éternité. Et, c’est ce que nous voulons de vous. Nous volons former un parti culturel, invincible. Qui lutte pour la paix et la coexistence, non seulement dans notre Liban chéri, mais dans tous les continents. Notre Liban, ce pays message, cette terre sainte, où ont vécu de nombreux prophètes… nous sommes donc, aujourd’hui avec vous, pour construire des ponts entre le Liban et le Mexique, mais aussi avec tous les autres pays du monde où la communauté libanaise est implantée… Cette action sera encore plus forte si elle inclut les jeunes mexicains d’origine libanaise qui n’ont pas pu se rendre à Ixtapa, et ils sont nombreux à vivre dans les régions éloignées, que vous devez engagées dans ce grand mouvement de renaissance du Liban, avec la participation de la Jomali et de RJLiban. » Des étreintes qui en disent long Les soirées dansantes se sont succédé dans les beaux restaurants et boites de nuit d’Ixtapa, aves des étreintes de plus en plus fortes au fur et à mesure de l’approche du départ. Ce fut notamment le cas lors de la soirée d’inauguration sur le thème des pirates. Apres avoir entonné les hymnes libanais et mexicains, une belle danseuse orientale nous a enchantés par son beau physique de libanaise au teint clair, ne connaissant que quelques mots du dialecte libanais. Et durant la dernière soirée de gala tout en blanc, il ne manquait que des projecteurs rouges et verts pour ne ramener au pays. Les discours des responsables ont été suivis de concours récompensant le plus beau, la plus belle, le plus séducteur et le nez libanais le plus typé, avant l’ouverture du bal au rythme des plus belles musiques de Caraïbes, dansées à deux ou en groupe. Aussi fiers de leur rassemblement que de leurs origines, les jeunes Libano-Mexicains nous donnèrent rendez vous pour 2010 à Puebla, ville proche de Mexique, et nous demandèrent, avec une lueur dans les yeux pouvant illuminer tout Beyrouth : « les jeunes libanais nous ressemblent t’ils ? « Comment vivent-ils ? » Comment avez-vous trouvé les jeunes Libanais du Mexique « ? Les libanais du Mexique veulent tous retourner au Liban, et notre équipe leur prépare des circuits touristiques spéciaux adaptés à leurs demandes. Mais pour le moment, ils n’ont pas la volonté de s’installer dans le pays, en raison d’une certaine appréhension due à la situation régionale et, parfois, à la difficulté d’obtenir le passeport libanais. Ils constituent cependant un exemple pour les jeunes du Liban. A quand le rassemblement de jeunes au Liban, qui soit indépendant des divisions provoqués par les formations politique impliquées dans les dernières guerres ? |
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Notre voyage d’une heure par avion, à partir de Mexico vers Zihuatanejo, à 200 Km à l’ouest d’Acapulco, nous a permis de rencontrer les premiers participants à la convention annuelle de la Jomali, qui, tous les quatre ans en moyenne, comme cette année, se déroule sur la plage. Parmi les 800 membres actifs de l’association, 250 étaient présents occupant les 16 étages de l’hôtel avec ses ascenseurs permettant à chaque aller ou retour d’échanger brièvement des idées avec de nouveaux jeunes provenant en particulier du nord du Liban (Zghorta, Batroun, Koura, Akkar…). Un échantillon de la grande communauté libanaise du Mexique, qui compte plus d’un demi-million de personnes, la plupart issues de familles maronites, avec un amour intact pour le Liban, malgré les distances géographiques et culturelles. Ils se contentaient de quelques de quelques mots en arabe pour nous raconter leur dernier séjour dans la mère patrie, plus de la moitié s’étant déjà rendus auprès de leur famille restées au pays. Ce qui n’est pas le cas pour tous, en particulier pour ceux ayant perdu tout contact avec le Liban, mais qui pourtant clament haut et fort leur identité libanaise. Coordination avec RJLiban Ambiance tropicale, tequila, à défaut de l’arak, derbaké, guitare et dance orientale au bord de la piscine aménagée pour pouvoir y jouer de la « taoulé » en fumant la narguilé : Fairuz, Yousfieh, Fahimé, Nazira, Amado (traduction de Habib ! ), Charbelito et aussi Alfredo, Eduardo, Jorge, Bernardo, Salomé, Farid, Haifa et bien d’autres, tous étaient présents, portant le cèdre au cou. Au milieu des tintements des verres portés « A la Salud del libano » (à la santé du Liban), notre discours fut prononcé en espagnol, leur première langue, à laquelle ils sont aussi attachés qu’à leur pays natal, le Mexique. « Le Liban s’intéresse à vous, vous jeunes mexicains, citoyens d’Amérique Latine d’ascendance libanaise. Nous savons que vous formez une élite d’affaires, et souvent vos parents ont été sollicités à partir du Liban pour financer des projets pour le Liban. Mais vous êtes aussi une élite intellectuelle, culturelle, et c’est la seule chose que personne ne peut vous prendre. C’est ce qui fait que le Liban existe encore, ait existé depuis 8000 ans et restera pour l’éternité. Et, c’est ce que nous voulons de vous. Nous volons former un parti culturel, invincible. Qui lutte pour la paix et la coexistence, non seulement dans notre Liban chéri, mais dans tous les continents. Notre Liban, ce pays message, cette terre sainte, où ont vécu de nombreux prophètes… nous sommes donc, aujourd’hui avec vous, pour construire des ponts entre le Liban et le Mexique, mais aussi avec tous les autres pays du monde où la communauté libanaise est implantée… Cette action sera encore plus forte si elle inclut les jeunes mexicains d’origine libanaise qui n’ont pas pu se rendre à Ixtapa, et ils sont nombreux à vivre dans les régions éloignées, que vous devez engagées dans ce grand mouvement de renaissance du Liban, avec la participation de la Jomali et de RJLiban. » Des étreintes qui en disent long Les soirées dansantes se sont succédé dans les beaux restaurants et boites de nuit d’Ixtapa, aves des étreintes de plus en plus fortes au fur et à mesure de l’approche du départ. Ce fut notamment le cas lors de la soirée d’inauguration sur le thème des pirates. Apres avoir entonné les hymnes libanais et mexicains, une belle danseuse orientale nous a enchantés par son beau physique de libanaise au teint clair, ne connaissant que quelques mots du dialecte libanais. Et durant la dernière soirée de gala tout en blanc, il ne manquait que des projecteurs rouges et verts pour ne ramener au pays. Les discours des responsables ont été suivis de concours récompensant le plus beau, la plus belle, le plus séducteur et le nez libanais le plus typé, avant l’ouverture du bal au rythme des plus belles musiques de Caraïbes, dansées à deux ou en groupe. Aussi fiers de leur rassemblement que de leurs origines, les jeunes Libano-Mexicains nous donnèrent rendez vous pour 2010 à Puebla, ville proche de Mexique, et nous demandèrent, avec une lueur dans les yeux pouvant illuminer tout Beyrouth : « les jeunes libanais nous ressemblent t’ils ? « Comment vivent-ils ? » Comment avez-vous trouvé les jeunes Libanais du Mexique « ? Les libanais du Mexique veulent tous retourner au Liban, et notre équipe leur prépare des circuits touristiques spéciaux adaptés à leurs demandes. Mais pour le moment, ils n’ont pas la volonté de s’installer dans le pays, en raison d’une certaine appréhension due à la situation régionale et, parfois, à la difficulté d’obtenir le passeport libanais. Ils constituent cependant un exemple pour les jeunes du Liban. A quand le rassemblement de jeunes au Liban, qui soit indépendant des divisions provoqués par les formations politique impliquées dans les dernières guerres ? |
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Notre voyage d’une heure par avion, à partir de Mexico vers Zihuatanejo, à 200 Km à l’ouest d’Acapulco, nous a permis de rencontrer les premiers participants à la convention annuelle de la Jomali, qui, tous les quatre ans en moyenne, comme cette année, se déroule sur la plage. Parmi les 800 membres actifs de l’association, 250 étaient présents occupant les 16 étages de l’hôtel avec ses ascenseurs permettant à chaque aller ou retour d’échanger brièvement des idées avec de nouveaux jeunes provenant en particulier du nord du Liban (Zghorta, Batroun, Koura, Akkar…). Un échantillon de la grande communauté libanaise du Mexique, qui compte plus d’un demi-million de personnes, la plupart issues de familles maronites, avec un amour intact pour le Liban, malgré les distances géographiques et culturelles. Ils se contentaient de quelques de quelques mots en arabe pour nous raconter leur dernier séjour dans la mère patrie, plus de la moitié s’étant déjà rendus auprès de leur famille restées au pays. Ce qui n’est pas le cas pour tous, en particulier pour ceux ayant perdu tout contact avec le Liban, mais qui pourtant clament haut et fort leur identité libanaise. Coordination avec RJLiban Ambiance tropicale, tequila, à défaut de l’arak, derbaké, guitare et dance orientale au bord de la piscine aménagée pour pouvoir y jouer de la « taoulé » en fumant la narguilé : Fairuz, Yousfieh, Fahimé, Nazira, Amado (traduction de Habib ! ), Charbelito et aussi Alfredo, Eduardo, Jorge, Bernardo, Salomé, Farid, Haifa et bien d’autres, tous étaient présents, portant le cèdre au cou. Au milieu des tintements des verres portés « A la Salud del libano » (à la santé du Liban), notre discours fut prononcé en espagnol, leur première langue, à laquelle ils sont aussi attachés qu’à leur pays natal, le Mexique. « Le Liban s’intéresse à vous, vous jeunes mexicains, citoyens d’Amérique Latine d’ascendance libanaise. Nous savons que vous formez une élite d’affaires, et souvent vos parents ont été sollicités à partir du Liban pour financer des projets pour le Liban. Mais vous êtes aussi une élite intellectuelle, culturelle, et c’est la seule chose que personne ne peut vous prendre. C’est ce qui fait que le Liban existe encore, ait existé depuis 8000 ans et restera pour l’éternité. Et, c’est ce que nous voulons de vous. Nous volons former un parti culturel, invincible. Qui lutte pour la paix et la coexistence, non seulement dans notre Liban chéri, mais dans tous les continents. Notre Liban, ce pays message, cette terre sainte, où ont vécu de nombreux prophètes… nous sommes donc, aujourd’hui avec vous, pour construire des ponts entre le Liban et le Mexique, mais aussi avec tous les autres pays du monde où la communauté libanaise est implantée… Cette action sera encore plus forte si elle inclut les jeunes mexicains d’origine libanaise qui n’ont pas pu se rendre à Ixtapa, et ils sont nombreux à vivre dans les régions éloignées, que vous devez engagées dans ce grand mouvement de renaissance du Liban, avec la participation de la Jomali et de RJLiban. » Des étreintes qui en disent long Les soirées dansantes se sont succédé dans les beaux restaurants et boites de nuit d’Ixtapa, aves des étreintes de plus en plus fortes au fur et à mesure de l’approche du départ. Ce fut notamment le cas lors de la soirée d’inauguration sur le thème des pirates. Apres avoir entonné les hymnes libanais et mexicains, une belle danseuse orientale nous a enchantés par son beau physique de libanaise au teint clair, ne connaissant que quelques mots du dialecte libanais. Et durant la dernière soirée de gala tout en blanc, il ne manquait que des projecteurs rouges et verts pour ne ramener au pays. Les discours des responsables ont été suivis de concours récompensant le plus beau, la plus belle, le plus séducteur et le nez libanais le plus typé, avant l’ouverture du bal au rythme des plus belles musiques de Caraïbes, dansées à deux ou en groupe. Aussi fiers de leur rassemblement que de leurs origines, les jeunes Libano-Mexicains nous donnèrent rendez vous pour 2010 à Puebla, ville proche de Mexique, et nous demandèrent, avec une lueur dans les yeux pouvant illuminer tout Beyrouth : « les jeunes libanais nous ressemblent t’ils ? « Comment vivent-ils ? » Comment avez-vous trouvé les jeunes Libanais du Mexique « ? Les libanais du Mexique veulent tous retourner au Liban, et notre équipe leur prépare des circuits touristiques spéciaux adaptés à leurs demandes. Mais pour le moment, ils n’ont pas la volonté de s’installer dans le pays, en raison d’une certaine appréhension due à la situation régionale et, parfois, à la difficulté d’obtenir le passeport libanais. Ils constituent cependant un exemple pour les jeunes du Liban. A quand le rassemblement de jeunes au Liban, qui soit indépendant des divisions provoqués par les formations politique impliquées dans les dernières guerres ? |
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Wednesday, 25 November 2009 | |
C’est sur les belles plages d’Ixtapa, au Mexique, que RJLiban a été à la rencontre des jeunes Mexicains d’origine Libanaise, rassemblés dans une association appelée Jomali. Il ya une vingtaine d’années, « Papi » réunit pour la première fois, sur une des superbes plages du Mexique, 200 jeunes d’origine libanaise, leur racontant la matinée de son départ du Liban, en 1964, pour émigrer, et la douleur de sa mère lors de la séparation. Emportés par le récit de ce voyage, ils pensèrent à leurs arrière-grands-parents ayant fait le même chemin et fondirent en larmes. La Jomali vit ainsi le jour, au milieu d’une émotion scellant jusqu’à aujourd’hui cette formidable association indépendante de jeunes Mexicains d’ascendance libanaise (« Jovenes Mexicanos de ascendencia libanesa »).
Notre voyage d’une heure par avion, à partir de Mexico vers Zihuatanejo, à 200 Km à l’ouest d’Acapulco, nous a permis de rencontrer les premiers participants à la convention annuelle de la Jomali, qui, tous les quatre ans en moyenne, comme cette année, se déroule sur la plage. Parmi les 800 membres actifs de l’association, 250 étaient présents occupant les 16 étages de l’hôtel avec ses ascenseurs permettant à chaque aller ou retour d’échanger brièvement des idées avec de nouveaux jeunes provenant en particulier du nord du Liban (Zghorta, Batroun, Koura, Akkar…). Un échantillon de la grande communauté libanaise du Mexique, qui compte plus d’un demi-million de personnes, la plupart issues de familles maronites, avec un amour intact pour le Liban, malgré les distances géographiques et culturelles. Ils se contentaient de quelques de quelques mots en arabe pour nous raconter leur dernier séjour dans la mère patrie, plus de la moitié s’étant déjà rendus auprès de leur famille restées au pays. Ce qui n’est pas le cas pour tous, en particulier pour ceux ayant perdu tout contact avec le Liban, mais qui pourtant clament haut et fort leur identité libanaise. Coordination avec RJLiban Ambiance tropicale, tequila, à défaut de l’arak, derbaké, guitare et dance orientale au bord de la piscine aménagée pour pouvoir y jouer de la « taoulé » en fumant la narguilé : Fairuz, Yousfieh, Fahimé, Nazira, Amado (traduction de Habib ! ), Charbelito et aussi Alfredo, Eduardo, Jorge, Bernardo, Salomé, Farid, Haifa et bien d’autres, tous étaient présents, portant le cèdre au cou. Au milieu des tintements des verres portés « A la Salud del libano » (à la santé du Liban), notre discours fut prononcé en espagnol, leur première langue, à laquelle ils sont aussi attachés qu’à leur pays natal, le Mexique. « Le Liban s’intéresse à vous, vous jeunes mexicains, citoyens d’Amérique Latine d’ascendance libanaise. Nous savons que vous formez une élite d’affaires, et souvent vos parents ont été sollicités à partir du Liban pour financer des projets pour le Liban. Mais vous êtes aussi une élite intellectuelle, culturelle, et c’est la seule chose que personne ne peut vous prendre. C’est ce qui fait que le Liban existe encore, ait existé depuis 8000 ans et restera pour l’éternité. Et, c’est ce que nous voulons de vous. Nous volons former un parti culturel, invincible. Qui lutte pour la paix et la coexistence, non seulement dans notre Liban chéri, mais dans tous les continents. Notre Liban, ce pays message, cette terre sainte, où ont vécu de nombreux prophètes… nous sommes donc, aujourd’hui avec vous, pour construire des ponts entre le Liban et le Mexique, mais aussi avec tous les autres pays du monde où la communauté libanaise est implantée… Cette action sera encore plus forte si elle inclut les jeunes mexicains d’origine libanaise qui n’ont pas pu se rendre à Ixtapa, et ils sont nombreux à vivre dans les régions éloignées, que vous devez engagées dans ce grand mouvement de renaissance du Liban, avec la participation de la Jomali et de RJLiban. » Des étreintes qui en disent long Les soirées dansantes se sont succédé dans les beaux restaurants et boites de nuit d’Ixtapa, aves des étreintes de plus en plus fortes au fur et à mesure de l’approche du départ. Ce fut notamment le cas lors de la soirée d’inauguration sur le thème des pirates. Apres avoir entonné les hymnes libanais et mexicains, une belle danseuse orientale nous a enchantés par son beau physique de libanaise au teint clair, ne connaissant que quelques mots du dialecte libanais. Et durant la dernière soirée de gala tout en blanc, il ne manquait que des projecteurs rouges et verts pour ne ramener au pays. Les discours des responsables ont été suivis de concours récompensant le plus beau, la plus belle, le plus séducteur et le nez libanais le plus typé, avant l’ouverture du bal au rythme des plus belles musiques de Caraïbes, dansées à deux ou en groupe. Aussi fiers de leur rassemblement que de leurs origines, les jeunes Libano-Mexicains nous donnèrent rendez vous pour 2010 à Puebla, ville proche de Mexique, et nous demandèrent, avec une lueur dans les yeux pouvant illuminer tout Beyrouth : « les jeunes libanais nous ressemblent t’ils ? « Comment vivent-ils ? » Comment avez-vous trouvé les jeunes Libanais du Mexique « ? Les libanais du Mexique veulent tous retourner au Liban, et notre équipe leur prépare des circuits touristiques spéciaux adaptés à leurs demandes. Mais pour le moment, ils n’ont pas la volonté de s’installer dans le pays, en raison d’une certaine appréhension due à la situation régionale et, parfois, à la difficulté d’obtenir le passeport libanais. Ils constituent cependant un exemple pour les jeunes du Liban. A quand le rassemblement de jeunes au Liban, qui soit indépendant des divisions provoqués par les formations politique impliquées dans les dernières guerres ? |